Ils sont là. Monstrueusement libres. Crocs et griffes.
Il faut leur donner un travail à chacun. De quoi les distraire de leur nature.
Dès qu'ils n'ont plus d'occupations, ils se souviennent des crocs, des griffes qu'ils ont, de la morsure dont ils sont capables, et succombent de nouveau aux charmes irrésistibles de la prédation.
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