J'écris pour ma défense.
Tout comme une forteresse, mon écriture défend de celui qui oppresse,
protège celui qui a besoin de secours et accueille celui qui réclame l'asile.
C'est pourquoi il faut lui adjoindre fenêtres et portes pour que quiconque y est entré puisse en sortir,
et susciter suffisamment d'inconfort pour que quiconque s'y est reposer, un beau jour, reprenne gout au voyage.
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